Le Growth Hacking n’est pas si facile à définir. Les marketeurs le définissent comme un état d’esprit dont le but est d’atteindre à tout prix une croissance rapide d’un service ou d’un produit. Et ce, par tous les moyens, même « borderline ». Il s’agit avant tout d’une culture orientée ROI et résultats rapides.
La principale caractéristique du Growth Hacking est qu’il ne tient pas vraiment compte des grands classiques du marketing. Les Growth Hackers sont souvent autodidactes. Ce sont souvent des start-ups sans ressources qui utilisent le Growth Hacking.
Growth hacking, quelle stratégie ?
En réalité, il n’existe pas de stratégie de Growth Hacking « toute faite », le challenge c’est justement de parvenir à trouver le « hack » que personne n’a encore mis en place et qui va permettre à une marque d’exploser ses objectifs.
Il faut donc concevoir et utiliser une tendance bien avant tout le monde. Cependant, cela ne signifie pas que votre tactique doit être nouvelle, bien au contraire.
Les Growth Hackers vont surtout mesurer les résultats et mettre en oeuvre des tests A/B pour vérifier l’efficacité de leur idée. En effet, le Growth Hacking ce n’est donc pas forcément l’idée du siècle pour passer d’un trafic nul à des millions de visiteurs en quelques jours. Il faut s’armer de patiente et surtout essayer.
De nombreuses entreprises ont déjà mis en place du Growth Hacking pour se développer, on peut notamment citer Uber, Instagram, Twitter, Hotmail…
Vous l’avez sûrement déjà vu le fameux « envoyé de mon iPhone » d’Apple dans un de vos mails.
Ce message a bien été pensé pour atteindre un objectif précis : faire connaitre Apple en passant par ses utilisateurs eux-mêmes ! Résultat une publicité gratuite !
Pour conclure, le Growth Hacking utilise des techniques astucieuses, qui cassent un peu les codes traditionnels, qui arrivent à accélérer rapidement la croissance.